Du bruit!

Les temps sont durs, faut cravacher comme un iench pour ramener de la monnaie. C'est que j'ai le loyer de mon palace en terrasse, vue sur le Sacré Coeur...

Et y sont où les dessins là-dedans? Perdus entre les joyeux coups de marteau des fiers travailleurs du matin, et ma souplette du soir.   

Le temps s'évapore aussi vite que les Figolu de leur paquet.

Pendant que je finis des dessins, à Nagoya y a une nénette qui attend sous la pluie et sûrement qu'y a un mec qui danse sur CSS à Sao Paulo ( même que c'est sur Alala ). C'est fou la vie...